- Quelques chiffres clés : Espaces verts, entreprises, population, superficie… Quelques repères pour bien connaître la ville :
- Département : Yvelines (78).
- Arrondissement : Rambouillet.
- 11ème circonscription législative : Élancourt, Trappes, Saint-Cyr-L'Ecole, Fontenay-le-Fleury, La Verrière, Bois-d'Arcy et Le Mesnil-Saint-Denis.
- Canton de Maurepas : Élancourt, Maurepas, Coignières et La Verrière.
- Habitants : 27613 élancourtoises et élancourtois, dont 5000 à la Clef de Saint-Pierre (INSEE 2007).
- Communes voisines : Coignières, Jouars-Pontchartrain, La Verrière, Le Mesnil-Saint-Denis, Maurepas, Plaisir, Trappes.
- Superficie : 979 hectares, 39 ares, et 48 centiares.
- Point culminant : Colline d'Elancourt, 230 mètres (point culminant artificiel de l'Ile-de-France).
- Saint-Quentin-en-Yvelines : La ville nouvelle regroupe 7 communes : Élancourt, Guyancourt, La Verrière, Magny-les-Hameaux, Montigny-le-Bretonneux, Trappes, Voisins-le-Bretonneux.
- Ville verte : En lisière de la vallée de la Chevreuse, Élancourt est une ville très verte : la Municipalité entretient 110 hectares d'espaces verts publics.
- Ville dynamique : Plus de 300 entreprises, commerces et artisans. Plus de 130 associations élancourtoises. 6000 élancourtois font du sport dans un club ou une association. 31% des élancourtois ont moins de 19 ans.
- Ville d'histoire, ville d'avenir...
- Du "petit village" à la "cité moderne" : Petit village au début du siècle, Élancourt s'est métamorphosée en cité moderne depuis son intégration à la ville nouvelle, tout en conservant son charme d'autrefois.
- Une onomastique étonnante : L'origine du nom "Élancourt" est relativement récente. Certes, une petite agglomération rurale anonyme existait sans doute dès le début de notre ère à proximité de Trappes, alors étape de la voie romaine menant de Paris à Dreux. Mais il faudra attendre le XIe siècle pour trouver trace d'un nom définissant une commune à part entière : ce sera "Aglini Curtis". Issus à la fois du latin et du germain, ces termes signifient "la ferme enclose d'Aglin" ou encore "l'exploitation d'Agil". Au fil des siècles, les toponymes vont continuer d'évoluer au gré de la transmission orale. Ainsi Aglini Curtis deviendra Herencurtem en 1144, puis Elencuria en 1250, Ellencourt en 1472 pour aboutir enfin au nom actuel d'Élancourt en 1757.
- Le boum démographique : En 1472, la petite commune d'Ellencourt atteint pour la première fois la centaine d'habitants. L'évolution très lente de la population va se poursuivre jusqu'à l'arrivée en 1970 de la ville nouvelle, synonyme de "boum démographique" extraordinaire : après avoir réuni 800 personnes en cinq siècles, Élancourt attire plus de 8 000 personnes en cinq ans ! En 1978, la ville compte déjà 15 000 habitants ! Baptisée Saint-Quentin-en-Yvelines en 1970, la ville nouvelle a donc parfaitement réussi son rôle premier : endiguer l'exode rural. Depuis 30 ans, Élancourt est devenue un des premiers pôles du développement urbain à l'ouest de la capitale et compte aujourd'hui 28 000 habitants.
- Une ville à trois visages : Alliant Histoire et modernité, Élancourt présente aujourd'hui trois types de géographie.
- Le village : Niché dans la vallée, avec ses maisons en pierre meulière, le Bassin de la Muette et l'église Saint-Médard, le village témoigne d'une autre époque. Constructions anciennes et contemporaines se côtoient harmonieusement dans un paysage de verdure très apprécié par les habitants.
- Le plateau : Depuis 1970, le plateau, situé sur la partie sud d'Élancourt, s'est couvert d'une urbanisation moderne. Constitué en majorité de résidences et de groupes d'immeubles, le plateau accueille les principaux services au public : Mairie, médiathèque, cinéma, police municipale, centres commerciaux…
- La Clef de Saint-Pierre : Appartenant naguère à la commune de Plaisir, ce quartier a été rattaché à Élancourt en 1983. Tout d'abord zone industrielle, il s'est rapidement métamorphosé pour accueillir de nombreux résidents et leur offrir tous les services de proximité nécessaires.
- Les vestiges du passé... Deux vestiges médiévaux ont traversé les siècles sur la commune :
- L'église Saint-Médard, de style “roman primitif”, dont la première pierre fut posée au Xe siècle. Médard, évêque de Noyon et de Tournai entre le Ve et VIe siècle, était célébré par les croyances populaires comme "influant sur le temps"…
- Du côté de la Villedieu, une ancienne commanderie de Templiers a également été conservée. Fondé en 1180, ce lieu constituait une étape de repos pour les pèlerins en route vers la Terre Sainte. On y trouve une chapelle qui demeure le dernier témoin médiéval de ce type dans toute la région. En 2006, la Municipalité y a installé une sculpture de Templier qui marque fièrement l'entrée de la ville.
- Le blason : En 1973, la Municipalité lance un concours public pour choisir le blason de la ville. Parmi les 5 propositions, c'est le blason actuel qui a été choisi. Le blason d'Élancourt est vert comme la campagne du village. Le chevron d'or symbolise les routes qui la sillonnent. Au milieu de l'écusson, le noir et le blanc sont les couleurs de l'étendard des Templiers orné de la croix rouge de l'Ordre de Malte. Au-dessus, la monnaie byzantine des Croisades est représentée par les trois besants blancs sur fond bleu, symboles de Saint-Germain-des-Prés. Les deux fleurs de lys rappellent la royauté et l'abbaye de Saint-Denis.